Pigeon (Columba)

Ce stupide volatile est des plus dangereux de part sa stupidité et je sais de quoi je cause je manque de m'en prendre un dans la gueule au moins une fois par semaine, ce qui le classe parmi les créatures que j'exècre le plus dans l'univers (avec les brocolis). Je les abhorre, hais, déteste, abomine, honnis et maudis jusqu'à la fin des temps. (hem)

Donc commençons par un poème/vidéo sur le susdit "animal" même si la dénomination me parait un peu exagère... sales bestioles, créatures des enfers...

Revenons en détail aux inconvénients de ce volatile grisâtre idiomatique. Son atrophie du cerveau lui vient en fait de l'évolution humaine, en effet, la longévité grandissante de l'humanité ajouté à l'ennui sous-jacent de la vieillesse, fait que pour se nourrir le pigeon picore, du pain dur (picoti-picota) lâchement abandonné par des vieux en quête de sensation forte. En résulte un crétinisme débordant que nous allons détaillé :

  • Picorationnementage : seul 2 neurones sont nécessaire (étude faite sur la poule : l'un pour s'éclater le bec sur le sol, et l'autre pour relever la tête),

  • Réussir à aligner une patte devant l'autre : 4 neurones (étude sur le 42ème régiment d'infanterie)

  • Et comme nous considérons qu'il ne vole pas mais essaye juste d'éviter (plus ou moins) ce qu'y peut ce trouver sur le trajet toit d'immeuble -> goudron, appelons cela "attaque en piqué sur morceau de pain" qui équivaut à 13 neurones (à + ou - un réverbère).

  • Tout cela nous fait un total de 19 neurones (notons toutefois que cela fait plus que certains sportifs dont je tairais les noms).

Outre sa stupidité, le pigeon est globalement moche, gris, terne, se nourrit de détritus, roucoule, et parfois voyage. Enfin il parait personnellement je n'ai jamais reçu de message par pigeon voyageur. J'aimerai essayer d'en envoyer mais je ne shoot pas assez fort... Sans compter qu'il faut déjà l'attraper la sale bête, car même s'il me frôle et m'attaque (volontairement j'le sais, ils ont quelques chose contre moi). Ils restent malgré tout vif et ont développé d'assez bon réflexes d'esquive. Certains essaie toujours vainement d'arrêter les voiture avec la tête, sans grand résultat, à part faire marrer les écureuils.

Néanmoins ils se rapproche toujours de l'homme, s'attaquant aux petits vieux, quémandant des miettes, toujours plus près, toujours plus nombreux, et alors que le patriarche menacé doit abandonné sa baguette, le pigeon jamais rassasié se tourne désormais vers sa nouvelle proie, ils le fixent, menaçant,  s'ensuit une course poursuite effréné, sur un vieillard surpris, déboussolé, paniqué et en déambulateur, qui n'aura malheureusement aucune chance d'y réchapper. Les pigeons sont trop nombreux et bientôt il ploie et succombe sous les assauts répétés puis décédera des suites de ses nombreuses blessures de morsures de becs de pigeons moches...

 

Quelle funeste fin atroce, horrible !